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07 DECEMBRE 2006

bioMérieux lance VIDAS Troponin I Ultra, nouveau paramètre de sa gamme d’urgence

Marcy l'Etoile, France - 7 décembre 2006. Acteur majeur dans le domaine du diagnostic in vitro, bioMérieux renforce son engagement dans la lutte contre les pathologies cardio-vasculaires et lance VIDAS Troponin I Ultra, paramètre de choix dans le diagnostic du syndrome coronarien aigü.

VIDAS Troponin I Ultra, grâce à sa grande sensibilité , détecte ainsi de façon très précise et très précoce, un risque d’infarctus. Avec ce nouveau test, les médecins pourront diagnostiquer et donc initier rapidement un traitement chez les patients se présentant aux urgences avec des symptômes de syndrome coronarien aigu. De plus, ce test est l’un des premiers à être en conformité avec le nouveau standard international, ce qui facilitera l’interprétation des résultats pour les biologistes et les médecins.

VIDAS Troponin I Ultra est une étape importante pour le déploiement de la stratégie de bioMérieux dans le domaine des marqueurs d’urgence pour les maladies cardio-vasculaires qui représentent un problème majeur de santé publique. A terme, l’offre bioMerieux permettra de façon unique aux médecins de diagnostiquer, pronostiquer et/ou suivre les pathologies d’origine cardiaque, infectieuse et thromboembolique.

La Troponine est un marqueur spécifique permettant d’identifier des lésions des cellules musculaires cardiaques. Elle n’est mesurable dans le sang que dans des conditions pathologiques. Ce produit, marqué CE, est disponible dans les pays de la communauté européenne. Il sera progressivement en vente sur les autres marchés.

L’enjeu de santé publique
Les maladies cardiovasculaires constituent la première cause de mortalité dans les pays industrialisés. Chaque année, 3,8 millions d’hommes et 3,4 millions de femmes décèdent d’une maladie coronarienne, première cause mondiale de mortalité. Les coûts annuels associés aux pathologies coronariennes représentent 142.5 milliards de dollars aux Etats-Unis et 44,7 milliards d’euros en Europe.
Les maladies coronariennes n’ont donc pas seulement un impact majeur sur les individus et leur qualité de vie, mais également sur les coûts de santé publique et l’économie de tous les pays. Les facteurs de risque pour ces pathologies sont le diabète, le tabagisme, les antécédents familiaux, l’obésité, un excès de cholestérol…